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L’abeille et la fourmi

 

Travailleuses, toutes deux, la fourmi et l’abeille.

La fourmi, de sa force, peut soulever quelques poids,

L’abeille, de son pollen, peut remplir sa corbeille,

elles ont des similitudes, peu d’entre nous, le voit.

 La fourmi fabrique une fourmilière,

des galeries, des pièces, met des stocks de provisions,

une grande famille, plein de soeurs et de frères,

reste organisée et courageuse dans ses missions.

 L’abeille vit dans une ruche, ou construit son propre nid,

Représentant des galeries simples ou de complexes dessins,

Rassemblant une même famille dans son essaim,

son rôle industrieux a fait d’elle un emblème dans la dynastie.

 La fourmi protège certains arbres des parasites,

nettoie les cadavres d’animaux, très vite.

 L’abeille joue un rôle dans la pollinisation,

toutes substances produites gardent une réputation.

 Que dire de leurs belles Reines ?

simplement, elles se font féconder,

pondent des œufs sur plusieurs journées,

peuplant ainsi chacune de leur arène.

 Les personnes flattent les abeilles

 et piétinent les petites fourmis,

 l’une nous régale avec son miel,

l’autre, en fil indienne, envahit,

Cependant, toutes deux sont nécessaires,

pour continuer à faire vivre notre terre. »

Agnès

LE RUGBY

Ballon_rugby : illustration of Cartoon Rugby player Banque d'images 

« Le ballon est bien rond,  

Non ! oval me dit on en souriant,  

Mais, les joueurs se rentrent dedans,

Non ! une mêlée se nomme cette action. …  

 

Aîe, pour celui qui est plaqué,  

il ne peut même plus bougé,  

Pas facile de tenter une pénalité,  

deux poteaux et un seul coup de pied.

 

  Ils doivent respecter des zones d’actions,  

le joueur ne peut être n’importe où avec son ballon,  

la continuité d’un jeu, seul, l’arbitre peut en décider,  

il siffle ou pas une mêlée ou une pénalité.

 

  Les protections de tous leurs corps et têtes,  

sont bien utiles quand je vois leurs gestes,  

entre les plaquages et les jeux aux sols  

Oulala, j’ai mal pour eux et je n’en rigole.

 

  De ces règles, je n’ai pas tout compris,  

De ce sport, je n’ai pas tout suivi,  

Tous les gens en parlent dans la rue,  

Dans les ordinateurs ou les revues.

 

  Pour m’informer sur ce jeu collectif,  

je me suis rendue sur les règles des nuls,  

Pour apprendre, il me faut plusieurs modules,  

Car en lisant les règles, je m’arrache les « tifs »… »  

Agnès

quelle journée !

Mais quelle journée mes aïeux !

Certains, vers des lacs, se dirigeaient,

d’autres, au boulot, dans leur dos, suaient !

Oh ! quelle journée mes aïeux, tous excités,

par la chaleur, les personnes étaient.

Mais quelle journée bien remplie,

ils ont absorbé toute mon énergie.

 

 

Mais quelle début de soirée méritée,

Après une douche fraîche d’eau,

dehors, je vais prendre l’air frais,

et me poser sur les draps, faire dodo… »

Agnès

le jour le plus long

 

 

« Musique, pour que chacun se mette à chanter

Le printemps s’achète, laissant la place à l’été,

 La brise effleure nos maisons,

Le soleil éblouie notre horizon.

 

 Le plus grand jour de l’année,

profitons de cette belle journée,

allons écouter les chants nouveaux,

que cette fête et ces moments soient beaux. »

Agnès

il n’y a..

 

arbre de tempête

 

Il n’y a pas pire qu’un ouragan,

 de son passage, matériels et nature détruisant.

 Il n’y a pas pire qu’un incendie,

dont les flammes laissent des paysages noircis.

 Il n’y pas pire que la sécheresse,

où les personnes restent dans leur pauvresse….

 Il n’y a pas pire que le vent,

dans nos longs cheveux s’engouffrant.

 Il n’y a pas pire qu’une inondation,

qui recouvre, cultures, rues et maisons.

 Il n’y a pas pire que des vagues déchaînées,

retournant des bateaux, noyant des passagers.

 Il n’y a pas pire qu’un accident,

et de par ce fait, perdre un enfant.

 Il n’y a pas pire que les guerres,

qui, depuis des décennies ne cesse sur la terre.

 

 Il y a pire que la « Pomme »

Etres, que nous sommes…

Intelligente, pourtant notre espèce,

ne peut maîtriser toutes ces catastrophes diverses… »

Agnès

 

pluie

« Après une pesante journée d’été,

le ciel se couvre, le tonnerre va gronder,

les branches se plient sous le vent,

la nature s’éclate dans cet instant.

 L’odeur de la terre mouillée,

douce odeur monte à mes narines,

des ruisselés se dessinent, soudain…

 la pluie a cessé… »

(photo : prise par mes soins) Agnès

Claix

Photo« Et sur le sable, je n’ai pu m’empêcher

d’écrire ton nom, pour que quelques uns

viennent aussi te visiter durant l’année,

de nos quatre saisons différentes,

tu peux offrir aux voyageurs, à chacun,

un panel de couleurs changeantes. »

Agnès

la grenouille

 

 

« La pluie, l’orage…

Et une toute petite, petite, petite grenouille

venant de je ne sais où,

égarée sous les fleurs de mon jardin…

Serait ce un signe pour vous conter

une histoire sur la grenouille ?…

(photo : prise par mes soins) Agnès

Sans réponse…

 

« Le voyage n’est pas seulement un passage dans l’espace,

mais un arrêt sur de vieilles pierres laissant des traces,…

 

Le voyage n’est pas seulement raconter de visu,

mais s’enrichir et pouvoir chercher l’inconnu,

 

Le voyage, de réponse, n’apporte pas toujours,

mais de questions, n’en faisons détour… »

(photo : prise par mes soins) Agnès

 

chats

Photo : Coucou <3

Un chat, deux chats, trois petits chats,

mais où vas tu, où cours tu le chat,

tu pars, tu chasses dans la nuit,

et, fatigué au petit jour, tu surgis….

 

 Que penses tu mon félin

quand ton corps ronronne,

te blottissant sur ta zone,

en adorant mes calins.

 

 A peine assise sur une chaise,

 te voici, sautant sur mes genoux,

mon livre et ta douceur m’apaisent,

tu es tranquille, jeune matou.

 

 Lorsque le feu de la cheminée crépite,

tu t’allonges sur tout ton côté,

observant les flammes qui s’agitent,

de ta patte, tu essaies de les attraper.

 

 Et quand tu veux jouer petit chat,

sur le dos tu te mets à plat,

me regardant d’un œil malicieux,

en me disant : « on joue à deux ».

 

 Pour demander ta gamelle,

tu te hisses entre mes jambes,

tu miaules, tu m’interpelles,

une fois ton repas pris, tu flambes.

 

 Un chat, deux chats, trois petits chats,

Mais où vas tu dans la nuit ? je ne te vois pas.. »

Agnès