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De quelle mer s’agit il ?

D’un seul oeil dormir,

de son cerveau à moitié réveillé,

le dauphin remonte à la surface et respire.

 

Les poulpes pour se défendre,

change de couleur ou crache de l’encre noire,

de sa beauté, il ne faut pas s’y méprendre.

 

Dans les anémones de mer,

joue le poisson-clown, dans les tons orangés,

par les enfants, il est admiré.

 

Mais qui est donc est le diable des mers ?

la plus grande des raies

avec ses nageoires, elle a l’air de voler.

 

Jusqu’à 150 ans, sans être pressées,

peuvent vivre certaines tortues des mers,

et nagent plusieurs heures en apnée.

 

Si la plupart des crabes marchent sur le côté,

c’est qu’ils ne savent pas où aller,

cherche plutôt pourquoi ce que j’écris là est faux.

 

Le secret de la mer, de quelle mer s’agit il ?

L’une des plus chaude de la terre,

Où logent des poissons de toutes les couleurs… »

Agnès

 

Evénement du ciel : la lune se rapprochant de la terre…14/11/2016

« Comme ici la lune ne pouvait se montrer… Aucune photo, je ne peux dévoiler…. Quelques nuages l’en empêchaient, je vais écrire quelque chose….
 
Pleine lune grosse grosse de 2016…. vient embrasser la terre…
Elle brillait mais plus ailleurs, peut être dans un ciel plus pur.
Certains pouvait remarquer les étoiles, claires, scintillantes.
La lagune réfléchissait comme un miroir.
Les manteaux blancs des montagnes au dessus des nuages brillaient de mille feux.
Des exclamations douces, d’autres plus aigües.
Les uns, les autres, le regard vers le ciel se tenaient la main.
Pour certains, c’était la première fois.
La lune éclairait tellement qu’on se serait cru en plein jour. Il y avait des arbres. Ces arbres se différenciaient sous d’autres formes.,
Une forme élancée du tronc et grand plumeau sur le sommet.
Nuit de lumière, nuit d’un paysage plus éclairé, paysage que nous ne pouvons que, imaginer…..Si comme moi, la lune, hélàs, vous n’avez pu la regarder…
Le ciel ne m’a pas permis d’avoir eu droit à la première fois… »
Agnès

une recette avec la lettre E

La recette des étoiles

Prenez sans couvercle un grand récipient,

allez chercher à l’extérieur un nuage de gaz et poussière,

délicatement, glissez le, sur le bord avec une cuillère,

Eteignez chauffage et lumière, maintenant.

Les premiers embryons se sont condensés, cataclysme !

une pincée d’azote, d’oxygène, de carbone, ajoutez,

s’enrichit, dans votre récipient, une voie lactée,

un peu de silicium ou du fer, tournez votre soupe cosmique.

Vous donnez un nom : grande ourse, carène du navire, Cassiopée

Le plus grand, de ses rayons ardents, notre jour, éclaire,

les autres se tiennent à la limite de détection de l’œil nu dans l’obscurité

Vous venez de fabriquer.. Le soleil et des étoiles de notre univers…. « 

Agnès

 

 

 

 

MARCHE

« Marche…
Tu n’es pas né sur la route d’or
mais tu as rendez vous
avec qui ? et où ?
Tu ne le sais pas encore…
Marche,
Avec elle, avec lui, avec nous, avec vous peut-être.
Marche,
Ton chant sur ton chemin sera,
Tes pas formeront des mots de mélodie
La fatigue sera ton ennemie
Mais le silence, tu verras, te parlera…
Marche,
Ouvre le chemin, la tete haute,
Sur ton sentier, tu trouveras des hotes
Marche, Marche, Marche,
D’autres marcheront avec toi,
A ton rythme, marche, emprunte les passages,
où que tu ailles, tu découvriras des paysages… »
Agnès

magie

« Sous les regards de tous les spectateurs,

ses mains s’ouvrent, se referment,

deux doigts tendus, la dame de cœur,

les visages deviennent blêmes.

 

Dans la pièce, à la lueur de la bougie,

des mots incompréhensibles, de leur bouche, se crient,

la table tremble, les livres tombent,

les esprits sortent des catacombes.

 

 Dans la nature, des conditions particulières,

autrefois, avaient un caractère mystique,

de cette magie, expliquée par les scientifiques,

laisse encore des instants féériques et garde ses mystères.

 

Une belle, dans l’extraordinaire,

une de tous les jours, la magie de l’amour,

troublant les cœurs, mettant les têtes à l’envers,

de tous mes vers, reste encore : magie d’un jour, magie pour toujours.. »

Agnès

 

neige

« L’hiver arrive à grand pas

le froid, le vent, le verglas,

danse en rythme la neige, vive saison,

le blanc recouvre les floraisons.

 

Dans un bruit sourd de la nature,

les animaux se cachent dans la verdure,

sous les branches, sous les toits, dans les trous,

la nuit, je n’entends plus le son du hibou.

 

Le squelette des arbres blanchi,

sous le poids, de chaque flocon, se fléchit,      

certaines branches touchent la terre,

on dirait qu’elles ont froid dans ce climat austère.

 

Les anciens, les enfants ressentent le changement,

s’énervent, se comportent différemment,

leur grognement, par eux, ne se définira,

nous, nous savons que la neige tombera.

 

les traineaux, les luges, les skis,

sont de nouveau de sorties,

ils caressent le coton du sol

pour certains, dans une course folle.

 

Les enfants lancent les boules

se jettent dans la pente et roulent,

les carottes ne sont point oubliées

sur le bonhomme, en guise de nez.

 

Ce blanc, ces flocons, cette neige,

font écrire, chanter, dessiner les artistes,

l’héroïne d’une saison forme un cortège,

les danseurs, les musiciens se lancent sur la piste.

 

Douce neige,  blanche, valeur pure,

tu aides les Hommes et toute la nature,

nous avons besoin d’eau, lorsque vient l’été,

grâce à toi, la faune et la flore ne seront asséchés. »

Agnès

 

 

 

 

 

 

 

je lui parlais

 

Un jour, au milieu d’un champ
se dressait un arbre sur le versant,
la forme de ses branches m’intriguait,
d’un élan, le champ je traversais.
 
A l’approche de mes pas, solitaire,
une à une la musique des ailes,
s’envolait vers le soleil et la plaine,
l’arbre devint nu, laissant traverser la lumière.
 
Il ne donnait sa véritable beauté,
qu’aux oiseaux qui le veillaient,
observant l’horizon, doyen de la nature,
l’arbre sans feuille, absorbait les murmures.
 
Tous les soirs, près de lui, je me rendais,
les oiseaux ne s’envolèrent plus,
ils attendaient tous ma venue,
jusqu’à ce jour, un matin…
 
Dans ce champ, je ne suis retournée,
l’arbre, par une tempête, s’est couché,
d’une plume ramassée, j’ai dessiné,
ce chêne et ses oiseaux que j’aimais. »
Agnès 

balade…

DSCF8102Entrez par cette ouverture sans porte
l’abondance naturelle vous emporte,
le « sorbo » surnomme t on cette céréale,…
aux graines rouges, se récolte pour le bétail,
ne cherchez plus les sauvages mûres,
j’étais invitée au goûter par dame nature,
le chardon, par cette grosse chaleur,
a perdu sous le ciel, ses couleurs,
rassasiée par d’autres bons fruits,
trois pommes, la quatrième, je ne l’ai finie,
n’est il pas agréable de cueillir dans les champs,
quelques mets sur les branches offrant,
et les fleurs de nuances variées,
dont l’odeur légère, s’ouvrent en plein été…. »

Agnès

La communauté des nuls : la lettre c Une histoire racontée par un bouc

Les gouttes d’eau font clic clac

Dans la boue se traine le porc

L’agriculteur fait du troc

avec son poulailler en mic mac.

L’âne, des carottes, est accroc,

les pigeons roucoulent sur le hamac

Le poussin provoque un choc

Il est sorti de sa coquille tout black.

Le matin, l’agricultrice boit son cognac

son estomac fragile est en vrac

mais ne veut passer au bloc

elle préfère prendre son médoc.

L’histoire de la basse cour a un truc,

tous les animaux, sur leur flanc

est dessiné un jeu d’échec

quoi vous dire, j’ai un couac….

il me faut aussi arrêter l’armagnac. »

Agnès

La communauté des nuls : la lettre c Une histoire racontée par un bouc

Les gouttes d’eau font clic clac

Dans la boue se traine le porc

L’agriculteur fait du troc

avec son poulailler en mic mac.

L’âne, des carottes, est accroc,

les pigeons roucoulent sur le hamac

Le poussin provoque un choc

Il est sorti de sa coquille tout black.

Le matin, l’agricultrice boit son cognac

son estomac fragile est en vrac

mais ne veut passer au bloc

elle préfère prendre son médoc.

L’histoire de la basse cour a un truc,

tous les animaux, sur leur flanc

est dessiné un jeu d’échec

quoi vous dire, j’ai un couac….

il me faut aussi arrêter l’armagnac. »

Agnès