« Souviens toi du vent sur nos visages,
entends le chant du hibou la nuit,
nous comptions les étoiles à minuit,
emmitoufflés dans nos sacs de couchage.
Sur les roches nous grimpions, des tornades,
rappelle toi de nos genoux,
écorchés vifs par nos glissades,
nous rions en dévalant les cailloux.
Les près emplis de couleurs,
les animaux flânaient parmi les odeurs,
des fleurs ouvrirent leurs pétales…
Je m’évade dans un lieu lointain,
Où nous nous amusions.. Tout me parait loin… »
Agnès
que de souvenirs nous viennent en tête durant toute notre vie
Nostalgique et doux, ce poème est très agréable et émouvant…
De beaux souvenirs, Agnès, libérés par ta plume.
Cathy.
Les souvenirs s’effacent pour faire de la place, il faudrait nous rajouter un disque dur plus important…
Bonne soirée Agnès, bises
Les souvenirs s’effacent pour faire de la place, il faudrait nous rajouter un disque dur plus important…
Bonne soirée Agnès, bises