Notre corps se détraque un peu plus chaque jour,
s’use, s’abime et vieillit avec l’âge,
les ans deviennent pesant et plus lourd,
dans nos diverses conversations
s’ouvrent d’obsédantes questions
et nous pouvons en parler davantage.
Où souffres tu, où souffres tu ? de partout ?
au bras, à l’épaule, aux pieds, aux genoux,
tu parles du dysfonctionnement de tes reins,
des douleurs dans le cou, d’arthrose de tes mains,
Et si d’extérieur le corps est encore présentable,
l’intérieur, dans le détail est plus que pitoyable.
Où souffres tu, où souffres tu, de partout ?
ton cœur forme des morceaux brisés
d’une histoire de vie emplie de drames
où coule le goût du sel de tes larmes,
Où souffres tu, où souffres tu, de partout ?
tu souffres, mais tu ne dis pas tout.
Où souffres tu, où souffres tu, de partout ?
Ton estomac ne digère plus et se resserre,
plein le dos en haut ou vers tes lombaires,
et sur les jambes tu restes droit,
pour éviter les douleurs au foie.
tu souffres de tes maux, ton être devient mou.
L’intérieur de ton corps en a pris un coup,
tout se détériore, mais tu gardes le moral malgré tout. »
Agnès
il ne reste que le moral, c’est pas la joie de se voir diminué, mais c’est aussi ça la vie, nous devrions faire attention à notre corps pendant notre jeunesse pour le préserver le plus longtemps possible en bon état de fonctionnement, enfin quand c’est possible car les maladies font tout pour nous amoindrir…
en tout cas c’est un très beau poème j’aime
Bonne soirée Agnès
Bises
merci Gibee
Bonjour Agnès!!!
Que de réalité dans ton joli poème!!!
Nous rentrons dans la tranche d’âge des « tamalous » nous n’avons pas le choix, je ne connais pas grand monde actuellement qui ne souffre de rien, je pense même que c’est impossible et ceux qui prétendent le contraire pour moi sont des prétentieux mdr!!!
Je reviens lentement mais sûrement sur la toile, je vous prépare de nouveaux défis pour septembre 😉
Bisous Agnès et belle journée!!!
Domi.
Merci Domi, oui j’attends avec grande hâte ton défi, tout comme ceux que tu nous as fait vivre avec joie. A bientôt et bisous
Rien d’évident mais une belle force de vie.
Un très beau poème malgré la tristesse qui en ressort,
Pourtant il se dégage une magnifique envie de vivre malgré les souffrances.
Quelque part, c’est une belle morale pour ceux qui se plaignent d’un tout et d’un rien… un peu comme ces malades imaginaires.
Amicalement,
Lauriane.
Coucou Lauriane, merci pour ton petit mot. Oui, malgré les maux, il est préférable de garder le moral. La vie n’est pas toujours facile pour les uns, pour les autres et les douleurs s’accentuent avec l’âge…
A bientôt Lauriane. de te lire aussi…
il faut garder le moral on ne peut pas être et avoir été le tout est de garder le coeur et l’esprit jeunes
merci Flipperine, tu as bien raison
c’est trop beau mam…
c’est trop beau, mam…