Tu ne connais ce que tu as entre les mains,
pouvoir prendre un stylo, cueillir quelques fleurs,
c’est si facile avec nos doigts, chaque jour, chaque matin…
observe celui qui n’en a point, tu ne connais ton bonheur.
Tu ne connais ce que tu as dans les jambes, dans les pieds,
pouvoir sans difficulté, d’un lit, d’un fauteuil te lever,
sans réfléchir, ces gestes au quotidien, tu le fais,
observe celui qui se bat pour se mouvoir, ton bien etre, tu ne connais.
Dans la tete, tu ne connais,
pouvoir parler, voir, entendre, toucher…
c’est si facile nos sens ne sont abimés,
observe celui qui n’en a pas, lui… il te connait..
De notre bonheur, prenons conscience,
nos petits maux ne sont déficiences… »
Agnès
C’est bien vrai, Agnès ! Les Jeux Paralympiques nous en font aussi prendre conscience.
Bisous et bon weekend. Clio.
J’aime ce poème qui m’a touchée. Même quand nous sommes malades, il faut toujours dire que cela pourrait être pire et qu’il y a d’autres personnes qui sont bien plus à plaindre. Bon week-end.
merci Martine 85
merci Francine