« Deux jeunes sont morts un soir,
pour qui, pourquoi ?
pour un geste, un regard,
pour un mot sur un trottoir.
Deux jeunes ont perdu la vie
actes gratuits barbares et tueries,
la violence continue, grandit,…
en délire, telle une furie.
Les coups deviennent des gongs,
à terre restent ces deux jeunes garçons,
le sang coulant à jamais,
dans ce quartier où ils étaient appréciés.
Nous avons peur de sortir de chez soi,
dans la rue, de faire le moindre pas,
où vivent trop de loups,
où l’Homme devient fou… »
En hommage à Kévin et Sofian….
AGNES