Je vais faire la maligne avec le D

Car après, suivant les lettres, je vais appréhender….

Nous ne sommes pas encore « ssépadé »

par ce jeu amusant et « rantlidé »

quelques mots à « llerssedé »

juste pour s’amuser sans être « vinde »

Cette lettre reste simple « vantde »

le x et le y où nous allons « voirde »

réfléchir et « ttrebade »

j’aime ce jeu de la fin au « butdé »

Court, ce jour, ce texte « biledé »

mais ce n’est que pour rire et nous « derridé »

merci de m’avoir lu sans « llanfaicedé »

car moi-même, je me perdais dans ces mots « mésfordé »

Agnès

Bonjour à vous, super, enfin je vous revois….

« Avec l’abécédaire, nous voici de nouveau partis par là,

Où vais je aller, pour l’instant, je ne sais pas,

Toutes ces lettres, j’évite le hors la loi,

Je me lance… Eh ben ? oui, quoi ?

Nulle, j’aime ce mot, ma foi,

je vais utiliser des boutades, dans mon charabia,

Et plein d’idées, va falloir que je m’octroi,

On s’amuse toujours, on applaudira,

Et toutes les phrases que l’on emploie,

Sont belles, recherchées, et vice et versa…

Ouf, j’ai trouvé ce truc à écrire chez moi,

Pas eu besoin d’aller voir les Incas,

Je vais aussi, avec plaisir, lire vos envois…

Sacré Domi, toutes, tu nous les feras ! »

Agnès

LA LETTRE H

(image prise sur internet pour illustrer la légende)

Je rencontre un anglais, un jour, il m’a racontée quelque chose sur cette citation :

« HONNI SOIT QUI MAL Y PENSE »

Nous avons tous en tête cette définition : « Personne qui voit de mauvaises intentions dans des paroles sans arrière pensée. »

Faussement mal pensée cette définition, vous allez comprendre pourquoi…

Voici l’origine de cette phrase qui s’écrivait à l’époque « HONI SOIT QUI MAL Y PENSE » et je vais m’amuser à vous raconter sa légende :

« En Angleterre, Edouard III (je vous laisse regarder l’époque), avait une maîtresse la Comtesse de Salisbury. (Jusque là, tout va bien…)

Mais lors d’un bal de la Cour (imaginez le monde, avec les grandes robes guindées, les costumes serrés…), la malheureuse comtesse laissa tomber sa jarretière.

Le Roi, galant (et oui, ça existait la galanterie..) ramassa et la rendit à sa donzelle…

Mais vous vous en doutez bien !! Les plaisanteries des courtisans fusèrent…. (et blablabla et blablabla et je chuchote et je rechuchote… et ça ricane).

Alors le Roi, furieux, se mit à hurler dans l’assemblée. Il cria si fort que l’ensemble de la cour se tue…

Sa voix résonna, les murs et les hauts plafonds tremblaient :

« HONI SOIT QUI MAL Y PENSE ! »

Ce bougre très fier, les dents serrées (ça c’est pour vous décrire un peu le personnage…), promit à sa favorite de faire de ce ruban de couleur bleu un prestigieux insigne. (en espérant que ce seront d’autres rubans, celui là, a été mis en haut des cuisses…).

« Les courtisans les plus fiers et ambitieux s’estimeront heureux de le porter » rajouta t il….

Ainsi fût créé l’Ordre de la Chevalerie et les hommes se nommèrent « Chevaliers Compagnons »…. (compagnons de qui ? de la Comtesse ? je n’en sais rien, je ne peux vous dire, je n’y étais pas…)

A cause d’un H….. je vais être complétement HONNIE !! (du verbe honnir qui prend deux N, aujourd’hui)

A bientôt

Agnès

La lettre F…. d’une citation… une autre idée… !

Voici ma proposition de citation :

« La photographie est un instant qui ne se réfléchit pas, suspendue à une fraction de seconde qui laisse à réfléchir »

Livre l’Attrape Chimère

Connadieu Rémy

Phonétiquement le F, le FF et le PH se prononcent de la même façon !

Apprendre à lire ne se fait pas naturellement, il parait que plus les enfants regardent des livres, plus leur compréhension des mots s’améliorent.

Oui, je l’entends bien, mais l’apprentissage de l’orthographe d’un mot est complexe.

Par exemple, tout simple : dans le mot ORTHOGRAPHE : que voit on ? le TH et notre fameux PH .

Pourquoi ne pas l’avoir écrit : Ortografe….

Faire comprendre de suite à un enfant que ORTHO veut dire droit et que le PH remplace le F, qui d’ailleurs à l’origine c’était du grec, où le PH remplaçait le J… De quoi se gratter le FRONT.

Vous conviendrez : les difficultés de l’orthographe française sont avant tout le produit de l’histoire compliquée de la langue.

Et si nous n’avons appris ni le latin, ni le grec…

De plus : pour simplifier nos mots : certains possèdent DEUX F : le mot EFFET: nous n’entendons qu’un seul F et pourtant…. Pas FACILE hein !…

Par contre la parole peut nous aider : dans le mot OEUF nous entendons le F… Ah ! quel TRIOMPHE (mais là je ne parle que du F pas du OEU…)

Et si nous n’avons pas gardé le premier dictionnaire de la Renaissance pour connaitre les origines des mots ou les différentes orthographes utilisées à l’époque, dans un même mot (exemple : fenêtre qui s’écrivait jadis fenestre où l’accent circonflexe remplace le s…)…. Nous n’avons pas fini de SOUFFRIR dans les mots.

Truffé de mots, un texte peut être difficile à lire, faisant foi à l’orthographe… Et je vous avoue ne pas avoir encore lu entièrement, le fie fasse où à l’époque les S étaient des F… devant ce livre : Oups, demi tour, nous avons de quoi vite FILER…

Pour schématiser : Un appareil photo est souvent comparé à l’œil…

En lisant, les mouvements oculaires, lors de la perception visuelle, se font en peu de secondes, comme une photographie.

Nous apprenons l’écriture de certains mots dans la vision du mot écrit…  Nous ne réfléchissons pas…

Par contre, l’orthographe de certains autres mots nous laissent à réfléchir avant de les écrire…

Complexe la photographie !!!… »

Agnès

 » Dans ma mythologie Grec, un jeune enfant nommé Xénon, habillé d’un drapé jaune, entouré d’une lueur bleue, voulait parcourir le monde des humains.

Quelle fût la surprise des parents : « il le fait exprès, pensaient ils, de nous exaspérer… Va, exiles toi et quand tu seras moins existé, tu reviendras »

Xénon, descend sur terre…

Parmi toutes les personnes qu’il rencontrait, d’un coup, alors qu’il était plutôt timide, il devint xénophile… Il leur parlait, leur partageait un instant..

Continuant son chemin, soudain, près du xyste, il entendit une voix : « xénon, je sais que tu viens découvrir cette région, je vais t’aider à voir ce qu’il a de plus beau. » Xoanon l’emmena.

Sous ses pieds des milliers de xenotime, reflétant la lumière, éblouissaient ses yeux. Plus loin, dans les prairies, les xéranthèmes ouvraient leurs pétales, offrant leurs belles couleurs variés où les xylocopes venaient aisément remplir leurs poches.

Xoanon lui fit découvrir l’immensité de l’eau où les xiphias et les xiphophore défilaient en dansant.

Après une journée excitante, Xoanon lui offrit un Xérès d’amitié.

Soudain, Xénon se mit à tousser, ses xiphoîdes l’oppressaient, la xérophtalmie l’envahissait…

« Vite, petit Xénon, se mit à dire Xoanon en expirant, il te faut retourner vers ton peuple, ici le climat ne te convient pas. Va raconter les beautés de notre terre en chantant, je t’offre un xylophone qui t’aidera dans ton récit. Au revoir Xénon, au revoir…. »