« Très doué, il n’avait que dix huit ans,
obtint son diplôme d’infographie
demeurant en Islande depuis longtemps,
une crise d’humeur, il partit dans les pays.
Il ne parlait que de Iacovleff, artiste
Un Russe, parcourant l’Afrique et l’Asie,
jadis, ce peintre n’eût atteint le siècle demi,
ces œuvres ne ressemblaient pas aux cubistes.
Dans sa Isuzu, parcourant les Antilles, Isidore
se nourrissait d’igname, de crabes farcis,
dans sa poche, des icaques, quelques graines d’or,
pour ramener peut être dans son natal pays.
A Isafjorour, qu’il revienne, ses parents souhaitaient,
ils devaient se parler, s’expliquer,
mais…. mais il en fût autrement…
Si vous voyagez dans ces iles… s’il vous plait..
ces images, prenez les et donnez lui,
sa mère, son père, en un portait vieillit,
sa photo de son pays qu’il ne peut oublier..
leur unique fils… ils pensent tous les jours à lui…
Agnès