« Volent les tuiles, les branches,
volent les tables, les chaises blanches,
autour de toi, tout s’envolent,
volent, volent, volent
Souffle le vent, souffle fort
réveille brusquement celui qui dort,
de ton bruit, ton son, ton souffle,…
souffle, souffle, souffle.
Eclate orage de désespoir,
de ta blancheur tu nous fait voir,
que puissante est ta colère,
éclairs, éclairs, éclairs.
Et toi, grande nature puissante
sous tes apparences merveilleuses,
tu nous donnes une vision désastreuse,
et de cet égarement, tu nous ventes ».
AGNES
J’aime la tempête, c’est vivifiant, mais gare aux branches et aux vagues, il faut rester prudent.
Bises