« Les mots de tous les maux restent fragiles,
poser ses pensées sans perdre le fil,
l’encre, d’une plume se dessine,
chaque phrase, chaque mot s’inclinent.
Les poésies, chants de romance,
entraînant communément une danse,
déployant ainsi de légères ailes,
échangeant des yeux, quelques étincelles.
Se séparant, entendre battre son cœur,
au loin, une silhouette dans la lueur,
s’efface paisiblement de la nuit,
sur un vallon, seule, je réfléchis. »
Agnès