« Parce que Hommage au savoir faire de ma maman… »
La vieille machine marron et noire
clic clic, bruit étrange dans le soir,
La pédale reprendra-t-elle le rythme de la couturière…
comme le pied aisé de ma propre mère,
sans perdre son lustre et sa cadence
humble, cette machine influence.
Artiste, couturière, de sa main alerte,
dessinant, coupant, filant, toujours prête,
du bout des doigts, à la guider et à la modérer.
J’aime les contours, de cette machine, inventés
brûlants de l’ancien temps quand
nos robes étaient cousues d’un joli fil blanc.
De cet art, apprendre, je n’ai voulu,
les deux, je préfèrais les regarder,
et les tissus plats, les voir se transformer
sur un buste… je resterai toujours émue… »
Agnès