« Sous un ciel clément et athlétique,
dans l’immensité de la vallée,
le verdict est enfin tombé
Grenoble : 1968 : les jeux olympiques !
Au cœur d’une ville nouvelle,
Grenoble se propulse dans la modernité,
les architectures de formes inespérées,
font de ce lieu, un site fonctionnel.
Des buldings, le Palais des sports et de glace,
Ses mobiles en sculpture dans les rues, sur les places,
Trente destins, depuis, pour le grand tremplin,
et pour d’autres monuments : l’oubli des refrains.
Schuss, première saga des mascottes,
aujourd’hui, presque introuvable,
représentant les athlètes d’hiver, sans dote,
ayant des esprits de joueurs indiscutables.
« … Chantons-le, fiers, les têtes hautes,
l’hymne du muscle et du cerveau.. »
dédié à tous les concurrents, ce chant,
oublié sous les neiges et par les vents. »
Agnès