« Si tes yeux te semblent humides,
ce n’est pas que tu ai froid,
ce n’est pas le pollen intrépide,
c’est de la tristesse, je crois
Si ton coeur se serre, devient étroit
ce n’est pas une maladie,
ce n’est pas le sang qui fuit…
c’est une angoisse que tu n’évoques pas.
Si le fond de ta gorge reste sans voix,
ce n’est pas que tu sois sans mot,
ce n’est pas ta bouche qui fait défaut,
c’est le son qui se bloque en toi.
Si tu n’oses regarder droit devant,
ce n’est pas dû au regard des autres,
ce n’est pas dû non plus à ta faute,
c’est une simple envie qui n’est plus là.
Si tu souffres seule,
Si tu gardes, au fond, tout en toi
comment puis je t’aider
Si je ne possède pas la bonne clé… »
Agnès
Attendre l’ouverture de la porte, un jour ou l’autre, quand la souffrance devient trop pesante.
justement Gibee : ne pas attendre que la souffrance devienne trop pesante..
slt Agnès, j’ai surfé sur ton blog, et lu tes poèmes continue ma belle car tu as l’âme d’une « poéteresse »
Merci Manuel… Ma petite Mali !
mon cœur est aussi vers toi. Bisous