« La mèche blanche de ses cheveux,
recouvrait la profondeur de son œil bleu,
accroupie dans le coin d’une rue,
frôlent des calèches, des charrues.
Tendant la main, offrant des tulipes,
quelques badauds lancèrent une pièce d’argent,
ne voyant sa maigresse sous ses fripes ;
sa blessure, son chagrin, ne ressentant.
Un chat roux, de l’adret, descend-il,
vint se blottir, de son air habile,
contre la petite fille, en miaulant ;
sa voix porta, les autres chats entrainant.
De leurs queues entrelacées,
cette enfant fut levée,
sur un orière, des ombres, des curieux,
un abave se dressa devant eux.
« Adonc, se présente une belle aspiole,
dit-il d’un ton ouaté,
absence d’amis, de parents, l’estiole,
vient, nous allons t’instruire dans la mondanité ».
Cette petite, dans le coin de la rue,
pieds nus, n’a plus été revue,
les chats continuent de lui donner affection,
elle grandit et consomma de coquettes dictions. »
Agnès
Bonjour Agnes désolé d’avoir été très long pour te répondre. Tout d’abord merci pour tes commentaires. Je te retourne le compliment pour ton blog, que j’ai découvert hier mais je n’ai laissé qu’un J’aime sur Facebook par manque de temps … J’avais l’intention de faire un break avant de poursuivre mon blog. Je te mets dans les liens partenaires. N’hésites pas à laisser un lien vers tes participations aux défis de Domi. A bientôt. Lolo
Merci Lolo, merci de passer me voir, merci de me mettre dans tes liens.
A bientôt
Au plaisir
Agnès
Bonjour Agnes,
Ce poème a du caractère, et je n’ai pas compris tous les mots ; je suppose qu’il y a du vieux français, non?
bonne journée
coucou Libre 34, merci de venir me voir… Oui effectivement du vieux français mais si tu t’amuses à rechercher le sens de ces mots, ce texte deviendra limpide…
Bonne journée, à bientôt
Agnès