Archive par auteur | agnes

jeu annuaire pour les nuls : la lettre X

 » Dans ma mythologie Grec, un jeune enfant nommé Xénon, habillé d’un drapé jaune, entouré d’une lueur bleue, voulait parcourir le monde des humains.

Quelle fût la surprise des parents : « il le fait exprès, pensaient ils, de nous exaspérer… Va, exiles toi et quand tu seras moins existé, tu reviendras »

Xénon, descend sur terre…

Parmi toutes les personnes qu’il rencontrait, d’un coup, alors qu’il était plutôt timide, il devint xénophile… Il leur parlait, leur partageait un instant..

Continuant son chemin, soudain, près du xyste, il entendit une voix : « xénon, je sais que tu viens découvrir cette région, je vais t’aider à voir ce qu’il a de plus beau. » Xoanon l’emmena.

Sous ses pieds des milliers de xenotime, reflétant la lumière, éblouissaient ses yeux. Plus loin, dans les prairies, les xéranthèmes ouvraient leurs pétales, offrant leurs belles couleurs variés où les xylocopes venaient aisément remplir leurs poches.

Xoanon lui fit découvrir l’immensité de l’eau où les xiphias et les xiphophore défilaient en dansant.

Après une journée excitante, Xoanon lui offrit un Xérès d’amitié.

Soudain, Xénon se mit à tousser, ses xiphoîdes l’oppressaient, la xérophtalmie l’envahissait…

« Vite, petit Xénon, se mit à dire Xoanon en expirant, il te faut retourner vers ton peuple, ici le climat ne te convient pas. Va raconter les beautés de notre terre en chantant, je t’offre un xylophone qui t’aidera dans ton récit. Au revoir Xénon, au revoir…. »

Jeu annuaire pour les nuls : la lettre W…

« Habillé en western, venu de Washington, en wagon lit, Walter allait se promener tout près du wagage

dans la région de wallonne.

Soudain, il eut une idée, se gratta les wormiens, prit sa canne et se mit à wading en chantant du wagnérien.

Tous ces poissons, se dit il, je pourrais les troquer contre des warrants.

Un verre de whisky, il se mit à boire pour fêter sa gloire.

De trop boire, une envie le presse, court dans les water closets… Dû prendre la wassingue, il en avait mis de partout…

Sur le chemin du retour, il vit des gens jouer au water polo, il prit son walkie talkie pour informer son ami.

Quel week end, ont ils passé avec Williams.. !! Walter reprit les wagons en ramenant une wyandotte en souvenir »

Agnès

le jeu annuaire pour les nuls : lettre V

LA LETTRE… V

« au Voleur,

va vaut rien, vivre ailleurs.

Vagabond,

Va et reviens, parcours les vallons.

Vainqueur,

vaillant, vaut plus que la sueur.

Vaniteux,

ton m’as tu vu n’a pas de valeur à mes yeux.

Vacancier,

virvolte, dans Venise, de robes déguisées.

Virgule,

ou plusieurs points après la lettre V… majuscule »

Agnès

Le livre est arrivé !….

 

 AgfaPhoto

 

 JE VOUS EN AVAIS DEJA PARLE…. Je suis sur les pages 156 et 157… HE BIEN…

LE LIVRE EST ARRIVE A LA MAISON… 103 AUTEURS à l’intérieur !!  TheBookEdition..

LE BENEFICE DES VENTES DU LIVRE SERA REVERSE INTEGRALEMENT A L’ASSOCIATION « REVE » AFIN DE REALISER UN REVE D’ENFANTS MALADES…

Si vous le souhaitez, vous pouvez acheter un LIVRE…

 

MERCI A QUICHOTTINE POUR SON INITIATIVE DANS CE PROJET

MERCI A DOMINIQUE (dimdamdom)

MERCI A TOUS LES PARTICIPANTS

MERCI A TOUS

ET MOI JE SUIS HEUREUSE D’AVOIR DONNE UN INFIME TEMPS POUR CES ENFANTS MALADES…

VOUS POUVEZ RETROUVER QUICHOTTINE : http://les anthologies.ephemeres.over-blog.com

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

La Sagesse…

Sagesse : Sagesse concept en utilisant du papier brûlé avec Wisdon mot imprimé sur lui et deux tortues qui, dans certains pays, représentant la sagesse

 

« La sagesse n’a ni âge, n’est ni entièrement explorée,

une force intérieure, une richesse à méditer,

la sagesse est plus vulnérable que la beauté,

un art de vivre ; un doute qui s’installe ; savoir s’arrêter.

 

Les citations se contredisent, chacun amène son idée.

L’homme sage ne connait pas de regret,

prend son temps, tire profit de son passé,

ses réflexions le transportent vers un avenir éclairé.

 

L’homme sage ne dit pas ce qu’il sait,

d’abord, il écoute tous les dires racontés,

perçoit, ressent, apprend à se connaître,

 à connaître l’entourage : la sagesse d’un « savoir être ».

 

Une seule sagesse ? non,  pure fiction,

seulement des sages : dans leurs pensées, dans la raison,

sans livre de philosophie, sans une quelconque religion,

poursuivant leur chemin, trouvant leurs solutions. »

Agnès

Je souhaiterais vous exprimer…

Dans la civilisation industrielle et matérielle,

tous les gens pensent que l’argent est essentiel,

mais ils passent à côté de ce qui est primaire,

l’argent est superflu, la pensée devient pécuniaire.

 

Tout ce matériel autour de nous,

imaginez ne pas en avoir du tout,

que feriez vous de votre être,

que feriez vous pour connaitre ?

 

Toutes ces choses jetées dans les poubelles,

neuves, peu usées, recyclées, superficielles,

toutes ces choses pouvant servir,

tout le monde les laisse pourrir.

 

Beaucoup parle du bien à autrui,

montrant une apparence de « mère Thérésa »

mais qui en sont bien loin dans leur vie,

donnant un semblant de ce qu’ils n’ont pas.

 

Nous avons besoin que de peu pour vivre,

Nos seuls besoins fondamentaux,

ne demandant aucune richesse matérielle explosive,

mais notre société n’entend aucun mot.

 

Société de consommation, de surconsommation,

où les derniers modèles sont vite achetés,

et si quelqu’un ne les possède, il est déclassé,

je suffoque, et ne veux suivre les « pigeons ».

 

Arrêtez, sans sincérité, de parler de cœur,

Arrêtez les semblants d’image en fleur,

A côté de vous, des gens se meurent,

A côté de vous, des gens très simples pleurent. »

 

Je hurle dans certaines lectures,

des photos, des messages sur des murs,

Je hurle sur les fervents hypocrites

dont le sens, hypocrite : je le proscris. »

Agnès

 

 

 

 

 

La perle

Perle : La Perle d'or

 

« Il jouait de sa lame comme un levier,

le fit céder, le coquillage s’ouvrit,

soulevant le repli, la perle était…

aussi belle qu’un… Louis.

 

Aussi parfaite que la lune,

grosse… comme un œuf sur la dune,

il ne savait plus, lui paraissait si belle,

n’en n’avait jamais vu de pareil.

 

« Pour ma bien aimée, pensa-t-il alors,

un cadeau du cœur valant plus que de l’or,

ainsi… me regardera-t-elle d’œil d’amour,

ou fera-t-elle encore, en me croisant… demi tour ? » ».

Agnès

 

 

 

 

Atmosphère…

Description de cette image, également commentée ci-après

 

« J’ai sur mon bureau des milliers de papiers,

ils ne demandent qu’à être lus ou étudiés,

mais je n’ai point d’envie, je ne veux les regarder,

 je les tourne, du blanc je vois, des piles je créais.

 

J’ai dans une boîte des milliers de plumes,

elles ne demandent qu’à glisser des opportunes,

mais je n’ai point d’envie, je ne peux les faire évoluer,

je les range délicatement, le couvercle est  fermé.

 

J’ai dans mon meuble des milliers de bibelots,

ils ne demandent qu’à être appréciés ; Calipso,

mais je n’ai point d’envie, je ne peux les considérer,

je tourne la tête, des souvenirs, la vitre est brisée.

 

J’ai sur mon sol des milliers de poussières,

elles ne demandent, à vrai dire, qu’à être aspirées,

mais je n’ai point d’envie,  j’éteins la lumière,

je sors de la pièce, je m’esquive, bouleversée. »

(photo de Calipso vu par un artiste)

Agnès

 

 

« Une petite fête pour le coeur »

 

Un enfant Galerie photo

 

« Tout joyeux d’avoir trouvé le fil de l’histoire,

il se laisse bercer par la musique de ses bracelets,

il pense à sa mère qu’il va bientôt revoir,

mais ne sait encore qu’elle ne reviendra jamais.

Des mensonges, des non dits, ce pauvre enfant,

finira par découvrir ce qu’il pressent.

 

Des recherches affectifs dans sa quête passionnée,

toutes femmes qui passent en fait une mère imagée,

mais les échecs rencontrés dans cette espérance,

ne fait qu’agrandir son énorme souffrance.

 

Il oublie un instant la principale : sa mamie,

fatiguée par le temps mais toujours là, pour lui…

le langage vrai et pur d’un petit enfant,

nous faisant partager un moment bouleversant,

à travers le drame qu’il connait,  dans ce roman. »

Agnès

 

 

 

Automne

L'automne

 

Saison de couleurs, saison de champignons,

Où m’emmènes tu sous les bois à cette saison,

Regarder les feuilles tomber où le vent a soufflé,

Admirer les animaux se faufiler dans la forêt ?

 

Saison de truffes, de vins, de noisettes,

Où m’emmènes tu dans ta grande cuisine,

Concocter des plats, des recettes secrètes,

Dont chacun de tes mets,  je n’imagine ?

 

Saison d’artistes, de compositeurs, de littérature,

 Où m’emmènes tu dans ces différentes galeries,

Découvrir des pages s’embrassant par des reliures,

des images dégageant l’odeur d’une nature infinie ?

 

Saison de printemps du début de l’hiver,

Où chacun va s’endormir sous un ciel couvert,

Douce saison qu’est l’automne. »

Agnès