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Le bouquet final : jeu annuaire pour les nuls

Objectif du jeu : toutes les lettres de l’alphabet !!

 

Ah, comme je suis heureuse d’avoir pu participer à ce jeu non typique !

Beunette, parfois je suis dans l’informatique,

Comme beaucoup d’autres sur cette planète,

Demi mots, je m’exprime dans mes textes,

Essayant d’explorer autour des contextes,

Favorisant mes lectures d’ouvrages intéressants,

Gardant mon côté d’amusement.

Harmonie dans vos propres écrits,

Innovant à chaque lettre proposée par Domi,

Joli ! ce partage de communauté,

Kiffant sur des phrases superbement aérées,

Louange de mots dont le sens est velours,

Mariant le réalisme et l’humour,

Nuls ? pas vraiment, beauté sur le fond,

Où l’imaginaire, la créativité, la réflexion,

Permettent, à nous, lecteurs de vos blogs,

Quelques divertissements, souriant,

Riant, pleurant, apprenant, comprenant.

Sans cette formule plutôt sympathique,

Tous, nous n’aurions pu participer à ce jeu ludique,

Unissant nos efforts en commun,

Valorisant ceux des autres le matin,

Wagons de personnes ayant des points à unir,

Xérès, ta première lettre, nous a fait souffrir,

Yeux de lumière, ouverts depuis plusieurs mois,

Zeste de chacun de vos blogs : j’aime, croyez moi… »

Agnès

 

Lady Hunt

AgfaPhoto

 

Avant le mois de décembre, vous vous souvenez je devais rendre mon verdict.

 

Parmi la liste proposée : pourquoi ai je choisi ce livre ?

– couverture simple et originale avec des couleurs accueillantes

– le côté mystérieux, surnaturel du sujet.

 

Résumé :

Un résumé est encré derrière le livre…. Donc, je ne vais pas faire de phrase, je ne vous écrits que quelques mots dans un exprès désordre :

– enfant happé par un appartement

– miroir

– intrigue

– passé

– agence immobilière

– famille, don, secret

pathologie

– Lady Hunt : hantée

 

Ce que je pense de ce livre :

Se lit facilement après avoir compris qu’il fallait le lire d’un trait, sans pause longue, sinon nous nous perdons facilement (ce qui s’est produit pour moi au début de ma lecture)

Ce livre n’est pas ennuyeux, même si parfois les écrits en Anglais en italique n’apportent rien de plus, même si parfois il est difficile de savoir où l’auteur veut aller.

Les intrigues, le suivi des questionnements sont écrits de manière particulière (on va d’un endroit à un autre… sans être sorti du premier endroit de suite dans la lecture) mais je dirais plutôt différente des intrigues que nous pouvons lire dans d’autres livres (livres que j’ai pu lire).

Je ne voudrais pas en écrire plus pour que chacun puisse le lire et je ne souhaite influencer personne dans mon propre jugement.

Vous n’auriez pas envie de le lire si chaque lecteur écrit beaucoup sur ce roman.

En ce qui me concerne, je ne regrette pas du tout la lecture de ce livre, même avec ses quelques petits points négatifs, je le recommande car chaque lecteur va trouver quelque chose dans ces mystères…

Ma note : 17/20

 

 

 

Le chemin

Le jour se lève colorant les sommets

donnant une ambiance, une image renouvelée,

Animant toute une vie installée,

au dessous d’un ciel de nuages couronnés.

 

La brume faisant de son existence une mer,

Inutile de chercher alors des repères,

Tout est sombre, d’un coton gris,

remettant en cause l’expérience et l’acquis.

 

Le froid, d’une dominance bleutée,

formant de sa glace des palais,

pour les animaux, ce froid est difficile à traverser,

ils se blottissent dans des trous, des pierriers.

 

L’eau, traçant un parcours ambivalent,

pouvant rouler, gronder, puis se taire facilement,

protégeant des mousses, rongeant les abîmes,

où les formes de pierres se redessinent.

 

Le chemin de toutes les essences,

parcours de réflexions autour des paysages,

décodage des signes dans les images,

construction d’un être dans sa subsistance. »

Agnès

 

 

 

 

hiver J.O. 1968

« Sous un ciel clément et athlétique,

dans l’immensité de la vallée,

le verdict est enfin tombé

Grenoble : 1968 : les jeux olympiques !

 

Au cœur d’une ville nouvelle,

Grenoble se propulse dans la modernité,

les architectures de formes inespérées,

font de ce lieu, un site fonctionnel.

 

Des buldings, le Palais des sports et de glace,

Ses mobiles en sculpture dans les rues, sur les places,

Trente destins, depuis, pour le grand tremplin,

et pour d’autres monuments : l’oubli des refrains.

 

Schuss, première saga des mascottes,

aujourd’hui, presque introuvable,

représentant les athlètes d’hiver, sans dote,

ayant des esprits de joueurs indiscutables.

 

« … Chantons-le, fiers, les têtes hautes,

l’hymne du muscle et du cerveau.. »

dédié à tous les concurrents, ce chant,

oublié sous les neiges et par les vents. »

Agnès

 

 

 

 

Son destin

Reine : Hiver Beauty.High-cl? de maquillage de mode Art.Perfect Banque d'images

« La mèche blanche de ses cheveux,

recouvrait la profondeur de son œil bleu,

accroupie dans le coin d’une rue,

frôlent des calèches, des charrues.

 

Tendant la main, offrant des tulipes,

quelques badauds lancèrent une pièce d’argent,

ne voyant sa maigresse sous ses fripes ;

sa blessure, son chagrin, ne ressentant.

 

Un chat roux, de l’adret, descend-il,

vint se blottir, de son air habile,

contre la petite fille, en miaulant ;

sa voix porta, les autres chats entrainant.

 

De leurs queues entrelacées,

cette enfant fut levée,

sur un orière, des ombres, des curieux,

un abave se dressa devant eux.

 

« Adonc, se présente une belle aspiole,

dit-il d’un ton ouaté,

absence d’amis, de parents, l’estiole,

vient, nous allons t’instruire dans la mondanité ».

 

Cette petite, dans le coin de la rue,

pieds nus, n’a plus été revue,

les chats continuent de lui donner affection,

elle grandit et consomma de coquettes dictions. »

Agnès

 

 

 

 

LE PETIT TRAIN DE LA MURE

« Mine d’antan, extrait d’anthracite,

où des hommes en sous sol

de leurs torches, de leur pieux cassaient ce site,

où ne vivaient aucune luciole.

 

Deux minutes et le train va siffler,

rouge de feu, couleur du foyer,

empli de charbon, les gaz propulsés,

la vapeur s’agite dans la cheminée.

 

Travailleurs d’hier, voyageurs d’aujourd’hui,

le petit train vous emmène là et ici,

à travers les toiles de la nature boisées,

à flanc de falaise, la matrice est accrochée.

 

En direction des merveilles du Dauphiné,

s’arrêtant en haut du lac dont viaduc est reflet,

se permettant deux boucles pour gagner en dénivelé,

visionnant le grand balcon, barrage de Monteynard Avignonnet.

 

Petit train de la Mure, vapeur, qui a parcouru,

des « va et vient » de lignes obtues

resiffleras tu pour notre plaisir,

ou sur le pont, les éboulis ne cesseront de le couvrir. ? »

Agnès

jeu annuaire pour les nuls : la lettre Z

Zut les Zamis, Ze ne veut pas Zêtre en retard…

le Z en citation, et un peu de moi à la fin, zette fois-zi :

« le Zapping est une incitation fébrile et sournoise de papier davantage des autres : disponibilité immédiate, obéissance comme à la télé, au doigt et à l’œil – Pivot

« Je veux faire 1 + 1, j’en ai marre de faire 1 toute seule. 1 toute seule c’est Zéro au bout d’un moment, non ? – Pacol

« Entre le soutien gorge et la culotte, s’étend cette brève Zone de chaire nue, boursoufflée par les élastiques étonnante erreur de la mode qui scie en deux le tronc féminin – Bazin

 » Pour atteindre le Zénith de la vie, il ne faut pas craindre de faire fi de tous les avis – Desbiens

 » Au ras de l’horiZon, une longue lueur grise commençait à s’étendre. L’aube, avec son reflet lunaire sur les nuages très élevés du zénith comme si elle allait apparaitre au milieu du ciel – Malraux

 » Un homme sans culture est un Zèbre sans rayure – Proverbe Africain

 » A l’égard des personnes qu’un zèle sincère, quoique mal entendu, pourra indisposer contre moi, j’en respecterai la cause sans en craindre et sans en approuver l’effet – Le Rond D’Alembert

 » On ne reste pas Zen, on le devient – Cespedes

 » La société ne fait elle pas l’homme, suivant les milieux où son action se déploie, autant d’hommes différents qu’il y a de variétés en zoologie – De Balzac

 » Les bœufs ? les flics, si vous préfèrez. Oui car si chez nous les flics sont des poulets, au Québec des bœufs. En Angleterre des pigs (cochons), c’est comme ça. Nous n’avons pas la même lecture Zoomorphique du représentant de l’ordre – Gifford

 » Devant vous faire et Ziste et Zeste avec sa pique – De Champmeslé

« Mon Zèle me dévore mais combien de prétendus Zélateurs pourraient dire : mon zèle, au lieu de me dévorer moi même dévore les autres –  Bourdaloue

« Dans ma grande pièce, les murs, reflet de Zelliges, je me mis à Zieuter sur ces citations, en buvant mon thé dans un Zarf d’argent, la chaleur produit un semblant de Zinzolin dans mes veines. Dans mes rêves, je voyage dans les Zénanas, tout se mélange, le jaZZ, les endroits tel que le Zadurga, me prenant pour un Zélate où je croyais être parmi des chevaux mais ce n’était que des Zébus. Zygzag dans mon esprit où le Z me laisse un Zeste de Zoumaï – Genestier

 

Sur notre montagne et nos rochers à Claix

 

 

En haut de la falaise,

Entre le Pic Saint Michel et le Moucherotte,

se lancent des personnes à l’aise,

de leurs ailes, ils tricotent.

 

Avec leur delta, ils planent dans le ciel,

je les regarde tournoyer avec mes jumelles,

ils présentent une tarentelle typique,

dans ces mouvements chorégraphiques.

 

Allongés, têtes au vent, ils décollent,

que ressentent ils dans ces instants de vols ?

Je n’ai pratiqué que saut à l’élastique et ULM,

mais n’est pas ressentie la sensation même.

 

Sous l’envole attentif et l’atmosphère,

je m’imagine la saveur de ce délice,

effleurant les parois des précipices,

caressant des yeux les rivières. »

Agnès GENESTIER

 

LA Guerre….

« J’ai respect pour toutes âmes qui se sont battues,
j’ai respect pour ce qu’il reste de ma patrie,
j’ai respect pour toutes mémoires disparues.
Je ne suis ni déserteur, ni combattante,
ni soldat, ni faible, ni forte, ni résistante.

Je vis où la paix survole notre pays,
je vis où l’amour devrait emplir nos vies.
Chaque continent qui se bat,
chaque pays qui s’entretue,
se massacre, pour obtenir un résultat,
 entraine la mort de personnes inconnues.

Chaque époque : histoire d’une guerre,
A ce jour, je ne suis pas vraiment fière.

De loin, je regarde à travers l’écran,
des visages, des corps, des regards pesants,
me sentant impuissante dans ces combats,
A chaque image, je me dis tout bas :
« Arrêtons ces tueries, tueries avec sang froid… » »

AGNES

LE CHATEAU D’EAU DE PONT DE CLAIX

Château d'eau de Pont de Claix : illumination (photo : Johann Poignant)

 

« Dans un parc urbain, durant une période de fléaux,

se dressa à l’entrée de la ville un château d’eau,

visible au loin, monté sur un piton rocheux,

balaye 360° le ciel, de ses faisceaux lumineux.

 

La source alimentait autre commune,

sur le plan esthétique, cet édifice ne faisait fortune,

de plusieurs projets, d’un intérêt particulier,

dans son environnement, sa transformation fût liée.

 

Monument historique, l’eau ne s’afflue plus,

ce jour, il abrite des liens modernes,

même si l’eau, de ce château, est en berne,

sa forme et sa présence sont toujours de visu… »

Agnès