Le jour se lève colorant les sommets
donnant une ambiance, une image renouvelée,
Animant toute une vie installée,
au dessous d’un ciel de nuages couronnés.
La brume faisant de son existence une mer,
Inutile de chercher alors des repères,
Tout est sombre, d’un coton gris,
remettant en cause l’expérience et l’acquis.
Le froid, d’une dominance bleutée,
formant de sa glace des palais,
pour les animaux, ce froid est difficile à traverser,
ils se blottissent dans des trous, des pierriers.
L’eau, traçant un parcours ambivalent,
pouvant rouler, gronder, puis se taire facilement,
protégeant des mousses, rongeant les abîmes,
où les formes de pierres se redessinent.
Le chemin de toutes les essences,
parcours de réflexions autour des paysages,
décodage des signes dans les images,
construction d’un être dans sa subsistance. »
Agnès
Bonsoir Agnès .Très très beau poème ! Bien amicalement , bisous.
Merci Francine d’être venue voir mon blog.. A bientôt bisous
Je l’avais loupé celui là. …comme beaucoup d’autres finalement 🙁