Un jour, au milieu d’un champ
se dressait un arbre sur le versant,
la forme de ses branches m’intriguait,
d’un élan, le champ je traversais.
A l’approche de mes pas, solitaire,
une à une la musique des ailes,
s’envolait vers le soleil et la plaine,
l’arbre devint nu, laissant traverser la lumière.
Il ne donnait sa véritable beauté,
qu’aux oiseaux qui le veillaient,
observant l’horizon, doyen de la nature,
l’arbre sans feuille, absorbait les murmures.
Tous les soirs, près de lui, je me rendais,
les oiseaux ne s’envolèrent plus,
ils attendaient tous ma venue,
jusqu’à ce jour, un matin…
Dans ce champ, je ne suis retournée,
l’arbre, par une tempête, s’est couché,
d’une plume ramassée, j’ai dessiné,
ce chêne et ses oiseaux que j’aimais. »
Agnès
pauvre arbre
Bonjour Agnès,
Très beau texte. les arbres sont tellement beaux.
Bonne journée Agnès, je ne t,ai pas oubliée.
À bientôt.
Un grand vide dans le champ 🙁
Bonne soirée
cc ma nini, magnifique poème et si je peux me permettre, peux tu m’écrire un poème sur l’ame. bisous ma belle.
Quel beau texte! J’aurai aimé voir cet arbre. Il y a comme une caresse, un léger souffle d’amour entre toi et lui.
Il est tendre ton monde Agnès.
Merci d’avoir mis ton lien sur FB.
Je t’embrasse.
Belle journée
EvaJoe