« Je regarde les lumières dans les rues, les vitrines
les joies des enfants, le père noël, les lutins,
les personnages déguisés se dandinent,
et pourtant je ne me sens pas bien.
Tous mes cadeaux matériels sont achetés,
il en manquera encore un dans mon panier,
non, je n’arrive pas à m’y faire,
de te savoir sous cette terre.
Les guirlandes sur le sapin nous mettrons,
dans mon être, je ressens toujours à cette saison,
un « je ne pourrai jamais revenir »,
je baisse la tête, c’est foutu,
puis, je lève les yeux pour me retenir,
une partie de moi, une présence disparue… »
Agnès
Ce très beau texte me touche tout particulièrement étant donné que je suis dans le même état moi aussi à cette époque. ça fait 20 ans qu’il est parti et il me manque toujours autant.
Je t’embrasse
les jours de fête on pense tjs à nos disparus