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La communauté des nuls : le Z tire son chameau… Heu ! son chapeau…

abecedairepaysvillesetc[1] - Copie

Me voici en zoothérapie

le ronronnement de mon chat

se nomme ronronthérapie

mais non je ne suis pas zinzin, ben quoi !…

Il saute sur mon ventre, allongée,

et prend toute ma négative énergie,

je m’endors, à Zoza, avec lui,

il ronronne, pas une patte, il ne va bouger.

Dans le pays de Zimbabwe, ce sont les zèbres !!…

Mais non, zut !  ils ne sautent pas sur mon ventre,

ils ont l’art de me décompresser, diantre !

débloquant à travers leurs yeux, mes vertèbres.

Zébulon,  notre chèvre favori

me ravive mes nerfs, elle mange tout,

mes zinias, mes œillets, sans faire de bruit,

son museau se heurte sur le houx.

A côté de ma zinc zafferano,

le bos tauros inducus, fort et trop beau,

pour lui, belle bête, j’évite le zéro,

de ma main, je touche sa bosse, d’en haut.

Pour éviter le zona, ou autres maladies,

je ne suis ni Zorro, ni je fais de la magie.

mais… dans mon zoo, faites un tour,

Arrêtez vous, prenez une collation,

détendez vous, avec un zeste de citron….« 

Agnès

 

la lettre X….. La communauté des nuls…

abecedairepaysvillesetc[1] - Copie

 

« Dans les montagnes verdoyantes,

XAVIER surveillait ses moutons,

L’un d’entre eux prit une pente,

Il accourut sans son caleçon.

XYLENE, de loin, le vit,

De son nu, d’abord, elle sourit,

Elle était XYLOGRAPHE la nuit

La journée, elle courait les prairies.

Dans sa XANTIA, ses repas refroidissaient,

De cette scène si comique, elle avait tout oublié,

ses rires s’entendaient à XOCOURT,

traversaient XIN JIANG jusqu’à Singapour.

Vexé, il reprit son cahier, se plongea,

Dans ses formules de XYLIDINE,

Des XYLOCOPES, tout près le lui, butinent,

Soudain, un XENOTIME sur son pied, glissa.

Regardant cette pierre de plus près,

Ni XYLENE, ni ses moutons n’existaient,

Il leva les yeux vers le XIAPHIAS,

Quel esprit, quel message ? Il ne le sait toujours pas… »

Agnès

 

 

 

Défi 132 proposé par DOMI : trouver une expression et créer une poésie

LES CROQUEURS DE MOTS….

_PAPILLON1PAPILLON2PAPILLON3(quelques unes de mes propres photos de ce papillon sur ma propre main)

 

EXPRESSION : « MEME POUR LE SIMPLE ENVOL D’UN PAPILLON TOUT LE CIEL EST NECESSAIRE » Paul Claudel

 

VOLE VERS L’HORIZON MON JOLI PAPILLON

 

Les ailes au printemps

se déployaient dans le vent

joli papillon, une vie éphémère,

trop bref passage sur cette terre…

 

De fleur en fleur, tu voltiges,

de tous les parfums, tu t’enivres,

du manque de temps, tu ne te poses,

volant toujours, effleurant les choses..

 

Et voici qu’un matin,

t’installant sur ma main,

tu n’as plus voulu repartir,

sur mes doigts, tu te laissais blottir. »

Agnès

 

 

LE JEU ANNUAIRE POUR LES NULS : la lettre G

abécédaire pays, villes etc...sur l'annuaire blog pour les Nuls

 

 

Voici la lettre GGGGGrrrrr…..

 

Gédéon, tu m’énerves beaucoup, tu te défiles

dans un endroit où ta geely

ne va pas faire long pli !

gendarme, pfff, muté dans une île  ?

Dis moi, quoi de plus sur ce lopin de terre,

mis à part des serpents qui grouillent

de partout, dans le riz, dans les nouilles

même dans les graines d’achiote.

Guépard, requin, berk, vas tu en voir ?

N’oublie pas la chanson de Gérard lenorman,

l’ami dauphin… mais non, pas de Grenoble,

mais non bêta, des bains de Corbeville.

Mais quelle ile ?…. Hein ? Quoi ? Elle existe ?

Ile de quoi ? ile de gua ? Ha ! l’ile de Guam !

mais c’est où, tu inventes, tu es un bon humouriste !

Ha ! non ? tu ne plaisantes pas ? hououou, je brame….

Laisse moi ! mourir au milieu de mes géraniums !

mon cœur se serre, je ne veux plus voir personne,

Dans la Garonne, j’irai me jeter et me noyer…

Ho, et puis non, ma gabardine, sur mon dos je mets,

J’ai encore à écrire sur les autres lettres de l’alphabet… »

Agnès

 

Jeu annuaire pour les nuls : la lettre E…..

abécédaire pays, villes etc...sur l'annuaire blog pour les Nuls

« Entre l’Espagne et la Belgique : un pays se nomme France.

Demeurant à Engin, dans le Vercors, le vieil éleveur de chèvres, parcourait comme un écureuil, des forêts, des montagnes et ressemblait dans les rochers à Edleinger Patrick. N‘ayant peur de rien, il naviguait même sur le fleuve d’Eyrieux !.

Ce vieil homme se nomme Edurne, les fruits, il les savoure tous, les fruitiers inonde son paysage, mais celui qu’il préfère est l’évis (mais là il ne les trouve qu’en polynésie où vit sa fille, mais c’est une autre histoire..).

Il aimait jouer à l’Epervier avec les enfants.

Sa plus belle passion : narrer des histoires ou des contes tant aux enfants qu’aux adultes…

Si vous rencontrez une express verte en forme d’épi, arrêtez la, et demandez à Edurne de descendre pour vous raconter cette légende.

Il la raconte bien mieux que je ne peux l’écrire……

Edelweiss

« Des années, des siècles se sont écoulés,

sans que nous parlions de ce petit berger,

assis, seul, sur son immense rocher,

observant son troupeau, de ses yeux éveillés.

 Un jour, alors qu’il appelait son chien,

une dame feutrée de poils blancs,

apparut devant lui, à l’aube de son chemin,…

 surprit, d’un grand pas, il prit le devant.

 N’ai pas peur, n’ai pas peur, petit berger,

tous les jours, tu regardes ma beauté,

va dire aux gens de ton peuple de partir,

de ma rareté, il ne peut me cueillir.

 Je me développe dans les vires rocheuses,

je m’ouvre dans les pelouses rocailleuses,

mais si vous ne me laissez grandir,

je ne pourrai plus me reproduire.

 Le petit berger enfile son habit de troubadour,

et se mit à crier dans les rues, dans les tours,

rapportant les mots de la pureté et l’amour,

pour que cesse la cueillette à compter de ce jour.

 Depuis lors, écoutant le berger, personne n’en reprit,

ni à l’aube, ni le jour, ni même la nuit,

mais les regards envers elle, ne cessent,

cette belle étoile qu’est…. l’Edelweiss »

Toute l’histoire n’est que pure invention de ma part, Edurne et le petit berger n’existent que dans mon imagination…

Je voulais seulement vous faire rêver avec un peu de paysages, de faune, de flore qui m’entourent mais surtout je souhaitais vous distraire avec la lettre E…. »

(photo : André Valpato)

Agnès

Souffle…

« Volent les tuiles, les branches,
volent les tables, les chaises blanches,
autour de toi, tout s’envolent,
volent, volent, volent

 Souffle le vent, souffle fort
réveille brusquement celui qui dort,
de ton bruit, ton son, ton souffle,…
souffle, souffle, souffle.

Eclate orage de désespoir,
de ta blancheur tu nous fait voir,
que puissante est ta colère,
éclairs, éclairs, éclairs.

Et toi, grande nature puissante
sous tes apparences merveilleuses,
tu nous donnes une vision désastreuse,
et de cet égarement, tu nous ventes ».
AGNES

J’arrive !!

 

 

« Que vois-je, dit un spermatozoïde,

une ovule juste devant moi

mais dit donc, on dirait un astéroîde vite,

être le premier, pour une fois »…

 

Les cellules se multiplient

l’embryon se forme durant deux mois,

puis le foetus se développe, grandit

la croissance se fait durant plusieurs mois.

 

 « J’entends le son d’une musique,

 la voix des personnes s’amplifient

ce noir autour de moi m’horrifie

qu’est ce qui me touche, me pique ?

 

 Ouf, ce n’est que mon cordon,

Là je me sens bien dans ce coccon

dans ce liquide amniotique

je nage, je dors, c’est sympathique.

Photo : ~~Lisa~~ 

Hé, c’est l’heure, je veux sortir

ma tête en bas, je tape des pieds

brusquement, je me sens propulsé

la lumière commence à m’envahir.

 

 Mais qui sont tous ces gens

qui me dévisagent, m’ensorcellent,

d’un coup, j’ai reconnu maman

de part sa voix ; me blottit contre elle.

 

 Elle me caresse, me parle doucement

 je la regarde mais ne vois qu’une ombre

les traits se dessinent lentement

son coeur bat, la pièce devient sombre

 

 Elle est belle, douce ma maman,

dans ses bras, je me sens apaisé

elle me donne pleins de baisers

je grandirai près de toi un bon moment »
Agnès

Les chevaux à Claix

APDC08651(photo prise par mes soins)
 
Sur notre commune de Claix, nous pouvons croiser des chevaux sur les chemins ou les routes, nous approcher et les caresser dans plusieurs prés.

Mais d’où vient cet animal si élégant et intelligent ?

Dans les livres « les dernières tribus de légende des Apaches, navajos, cheyennes, sioux » et « L’art des Indiens d’Amérique du Nord », il est noté :

«  »… en 1624 : un cheva…l a été aperçu dans un troupeau de bisons, et l’on a donné la consigne de ne pas le tuer.
… en 1680, pour la première fois, des chevaux ont été montés. Ensuite, ces animaux étaient régulièrement employés pour la chasse au bison. »

« LE CHEVAL ET LA « CULTURE DU BISON »
Les Européens apportèrent le germe de la révolution culturelle des Plaines : Le cheval.
Au 16ème siècle il fit son apparition sur le nouveau continent (accompagné d’autres animaux domestiques tels que la vache, le cochon et la poule) avec les Espagnols qui colonisèrennt le Rio Grande au Nouveau-Mexique. Les Apaches et les Navajos achetaient des chevaux aux rancheros et les revendaient à leurs voisins du Nord. La technique équestre se répandit rapidement de tribu en tribu, le long des Rocheuses jusqu’aux habitants des maisons de terre des vallées de la Platte et du Missouri.
Née de la présence du cheval, la révolution culturelle se développa dès 1700. Les sociétés de chasseurs qui auparavant ne pouvaient traquer les bisons que sur de courtes distances, suivaient désormais les troupeaux jusque dans les régions les moins accessibles des plaines… La chasse à cheval étant bien plus productive, les communautés s’élargirent rapidement. Les chasseurs de bisons nomades avaient utilisé les chiens comme bêtes de bât avant l’introduction du cheval.
Les chevaux améliorèrent la mobilité de vastes communautés ; grâce à eux, les Plaines, étendues inhospitalières, allaient devenir un pays rempli de nouvelles promesses… » »

Quel élégant animal que nous offre la nature, n’est ce pas ? »

 
Agnès

En mémoire de Patrick…

« Je ne vous parlerai pas des vignes ni du vin, je laisse le soin aux connaisseurs de s’en charger.

Patrick qui me connait bien nous a emmené dans un endroit traditionnel de leur région.

Quel est cet endroit ? nous en avions entendu parlé mais nous n’en avions jamais vu.

Cet endroit se nomme la palombière. Qu’est ce que c’est ?

Jean Pierre, maitre de ces lieux, nous a chaleureusement accueilli.

La palombière lieu très convivial est situé dans les vignobles et surtout la forêt. En entrant dans les bois, de tous les côtés des ficelles et des ficelles sont suspendus aux arbres….

Des appareillages artisanaux mais fabriqués dans les règles de l’art, auxquelles sont pris les ficelles, servent à monter les appeaux aux cimes des arbres.

Les appeaux ainsi fixés sur les raquettes, servent à attirer les palombes sur les branches des arbres.

Suivant les vents, les palombes se posent ou ne se posent pas bien. Dans le cas où les palombes sont posées, un signal est donné et une salve retentit.

Les palombes tombent, elles sont ramassées, comptées, plumées. Le plat traditionnel de la région est le salmi.

Une cabane cachée et suspendue dans un arbre, reçoit le bout de toutes les ficelles pour les manoeuvres. Au sol, nous entrons dans une cabane et un tunnel camoufflé par des branchages dans lequel nous pouvons circuler et se rendre au pas de tir sans être vus.

Cette chasse particulière ne peut être transmise que de génération en génération. Chaque chasseur garde son secret. Aucune école n’existe pour de tels enseignements. Il faut des années et des années, du temps, surtout de l’assiduité, être responsable et être respectueux envers les autres palombiers pour chasser la palombe. »

Agnès

le 26 février 2014 : il neige seulement maintenant…

AgfaPhoto(photo prise par mes soins)

 

« L’hiver n’a pas encore dit son dernier mot,
les fleurs sous la neige, la neige sur la photo,
le doux printemps n’est certes pas loin,
mais ne rêvez pas, il ne sera là pour demain,
« patience, patience » sagesse de l’ancienne… »
Agnès